Valek

Valek Noraj aussi appelé Valeknoraje est un homme d'affaires et influenceur politique sur YouTube né en 1994.

Positionnement Global

Valek affirme que la France est "un hybride entre le communisme et le capitalisme" et que c'est selon lui "les pires éléments des deux mondes"

Il considère que la droite est "en échec", qui a "abandonnée sa jeunesse" et qu'elle n'est pas assez dure ni "dans l'action" pour réussir.

"aujourd'hui la droite n'a pas le pouvoir, et quand elle l'a, elle a peur de gouverner. Elle se contente de ralentir un peu l'avancée de la gauche en attendant sa prochaine défaite"

Il affirme que c'est par l'investissement économique que la droite politique peut réellement gagner les esprits. Que l'influence, avant toute chose, se finance

sur l'argent - "C'est comme le port d'armes, l'argent c'est de l'énergie compressée, une capacité d'action, un moyen de financer ses idées, de résister aux oppressions et de défier les dogmes"

sur la comparaison socialisme / capitalisme : "Dans le capitalisme tu n'as aucune garantie mais tu as une chance. Dans le socialisme, l'État te donne toutes les garanties, mais c'est facile parce que tu n'as aucune chance. Dans le capitalisme tu as zéro filet mais tu as une corde et tu peux grimper. Dans le socialisme, l'État t'attache dans un hamac Tu as aucune chute possible mais tu n'iras nulle part."

Sur l'écologie - "Comment on va s'en sortir ? En recouvrant 90 % du pays par des éoliennes qui fonctionnent une fois sur 10 en retournant à l'âge de pierre mais où chacun veut son MacBook dernier cri ? Non, on sauve notre environnement avec des centrales nucléaires et du progrès scientifique"

Valek se positionne en défenseur du port d'arme et affirme qu'accompagné de certaines régulations : "n'importe quel citoyen pourrait devenir acteur de la sécurité pour lui-même et les autres"

Valek affirme que c'est le "wokisme" et l'athéisme qui ont remplacé les religions en Occident : "Dans les sociétés occidentales ce n'est plus Dieu qu'on vénère, ce n'est plus de lui qu'on se repend de nos péchés puisque la République a tué le socle civilisationnel français qu'est le christianisme [...] et ces nouveaux dieux ne sont nul autres que les prêcheurs de la propagande 'wokiste', qui ont très bien assimilé le concept de la repentance occidentale. Avec la montée de l'athéisme dont le culte principal est l'individu"

Sur le vote, Valek semble considérer que l'influence politique du Forum de Davos sur la politique mondiale rend le vote insignifiant :

"ce forum permet de court-circuiter toutes les institutions en place maintenant est-ce que tu comprends que ton bulletin je peux te le f*utre au c*l ?"

Valek souscrit partiellement et met en avant la 'Théorie de Rivelino' (inventée par l'influenceur Rivolino The Artist) aussi nommée théorie de la "Green Line" ('Ligne Verte' en fr) selon laquelle le degré avec lequel les partenaires d'un couple s'épanchent ou s'éloignent l'un de l'autre sur une photo détermine notamment leur statut de pouvoir individuel dans le couple - "Ce n'est qu'une théorie, mais elle se valide pas mal de fois"

Revirement politique

Au sujet de la communauté juive, Valek s'était jusque-là peu exprimé.

Mais récemment dans sa vidéo sur Charlie Kirk, il partage plusieurs extraits du discours de ce dernier, notamment à 2:24, où il affirme que "la communauté juive a promu la même haine des blancs qu'ils ont clamé qu'ils voulaient que les gens arrêtent contre eux".

À 2:35, Kirk poursuit en évoquant des figures comme George Soros, qu’il accuse de financer des causes "woke" telles que le mouvement BLM, dans une logique de détestation blanche. Il ajoute que certains juifs blancs américains renieraient leur blancheur au profit d’une idéologie "anti-blanche".

Valek enchaîne en introduisant son propre commentaire, de manière plus floue, en affirmant avoir "entendu la même chose en France", citant les francs-maçons et plusieurs personnalités, dont BHL, qu’il présente comme cofondateur de SOS Racisme, accusés d’avoir "importé cette haine en France".

Il conclut ce segment en déclarant que "les mêmes qui verrouillent le débat sur l'immigration s'en plaignent maintenant et veulent retourner chez eux", tout en affichant une image de BHL avec un avion en direction d’Israël. Ce montage visuel, associé à l’expression "chez eux", suggère une lecture identitaire et ciblée, laissant peu de place à l’interprétation.

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